« Il y a des enfants, des grands-mères, une petite église et un grand café », chanson de Jean-Jaques Goldman qu’Emmanuël Jacquin aimait bien.
Et c’est ainsi qu’a commencé la cérémonie religieuse ce mercredi 22 janvier pour les obsèques d’Emmanüel. Dans cette église où régnaient émotion et peine, nombreux sont ceux qui n’ont pu retenir leurs larmes.
Né le 12 juillet 1975, il fut le premier petit fils, la fierté de ses parents, Yolande et Marcel Jacquin et de ses grands-parents.
Passionné par le basket, Emmanuël appréciait également la pêche et le vélo. Manu, comme sa famille et ses copains l’appelaient, était un joueur de basket exemplaire et un entraineur fort apprécié. Il maitrisait les techniques de ce sport et sa principale qualité était l’assiduité.
« Avec Manu, une parole donnée était une parole tenue », a témoigné Robert Chermette, président du club de basket.
Disparu beaucoup trop tôt, Emmanüel laissera un grand vide dans son entourage, ses parents, grands-parents, M. et Mme Jean Charlemagne, Annick et Ouali, Laurent et Fanny, son frère et sa sœur, Emile, Romane et Thelma, ses neveux et nièces, ses cousins, ses amis.
Aujourd’hui, c’est tout un village qui partage les souffrances de cette famille, en exprimant, là, leur émouvant « au-revoir ».
Emmanuel Jacquin
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